Filmée durant cinq ans par Sophie Fiennes, Grace Jones qui a toujours été en contrôle de son image a enfin accepté de baisser le masque, d’accepter de parler et montrer ses origines jamaïcaine. Le titre du documentaire rappelle deux éléments : « Bloodlight » c’est la petite lumière rouge qui s’allume lors qu’on enregistre en studio et « Bami » signifie pain en patois jamaïcain. Grace Jones s’est confiée à Screen Daily en disant que c’est la première fois que le public allait la voir comme cela, qu’il s’agissait d’un portrait à la fois cru et candide et qu’elle était très heureuse du résultat.
Le documentaire Grace Jones : Bloodlight and Bami sera diffusé sur grand écran le 25 octobre dans le monde entier suivi d’un question/réponse avec Grace et ses amis.
Décidément notre icône ultime a décidé de se raconter depuis son livre co-écrit avec l’auteur Paul Morley I’ll Never Write My Memoirs paru l’an dernier où elle explique notamment combien elle s’est battue durant toute sa carrière pour son intégrité artistique.