Japon, Belgique, Chine… La Fashion Week de Paris a déjà largement prouvé qu’elle est loin de ne se limiter qu’à la mode parisienne. Aujourd’hui, elle représente un centre d’impulsion accueillant un savoir-faire venu des quatre coins du monde.

 

Ce mardi 27 février se déroulait la première partie de la Hong Kong Fashion Guerilla, une initiative sous l’impulsion de la Fashion Farm Foundation. Le but de la démarche résidait en la promotion de la mode Hongkongaise, dont l’impulsion mérite de très loin une visibilité au-delà des frontières chinoises.

Tâche réussie avec brio ; cela fait maintenant plus de dix ans que la HKFG met en avant sept invités, marques issues de Hong Kong tantôt nouvelles, tantôt ayant déjà fait parler lors des saisons précédentes.

Pour cette édition, ont été mis en avant autant les vêtements avec DEMO, Selffab et Yeung Chin, que les accessoires de mode tels que les sacs à main de PabePabe ou les bijoux de Vann. Quel que soit le produit, on a pu déceler chez la plupart des marques découvertes une réelle importance accordée à l’artisanat, à l’éco-responsabilité et à la créativité au sein du processus de conception.

C’est alors que sur deux étages, scénographie, mises en scène et technologie s’assemblaient lors de chaque showcase pour des présentations plus captivantes les unes que les autres, chacune avec son essence propre. Oui, chacune des marques aura usé d’une approche conceptuelle particulièrement novatrice pour happer l’attention des spectateurs présents sans grandes difficultés.

Un point commun se dessine alors : la mode chinoise se distingue par son innovation et par une approche fraîche et spectaculaire de la Mode, avec un grand M.

 

Cette deuxième journée de PFW aura été une superbe mise en bouche pour la prochaine étape de cette découverte hongkongaise. Prochaine destination ? Le dévoilement de la collection de Rêverie by Caroline Hù le jeudi 29 prochain.

 

Texte Sarah Agricole