Des diamants sous les yeux comme Winona Oak ou encore une avalanche de couleurs comme l’originale Grimes… Petit tour des plus beaux makeup repérés à la Fashion Week de Paris illustrés avec les clips du moment.

Giambattista Valli X Winona Oak

Après ” He Don’t Love Me” et ” Break My Broken Heart” , la belle Wiona Oak a une nouvelle fois le coeur en miettes avec “Lonely Hearts Club“.  Mais la Suédoise ne vit pas son célibat comme tout le monde. Exit les larmes de crocodile,  madame a les lacrymales en cristal. De parfaits accessoires pour accompagner sa perruque rose et danser au club des coeurs brisés. Des yeux de biches entourés d’un halo de strass que l’on a pu également repérer sur les jolis minois du défilé Giambattista Valli prêt-à-porter automne-hiver 2020-2021. Un makeup en cristaux Swarovski imaginé par Isamaya Ffrench connue pour ses looks décalés.

Dries Van Noten X Grimes

Titre adoré de son album Miss Anthropocene, Grimes sort le clip d’ “Idoru“, inspiré de l’anime des années 90 Revolutionary Girl Utena: “Techniquement, c’était un test caméra, qui a étrangement fini par devenir une performance pleine d’émotions alors… ne vous attendez pas au meilleur visuel du monde, mais on a remarqué qu’Idoru était devenu un des titres préférés des fans et je voulais vous exprimer à tous ma reconnaissance”, a expliqué la chanteuse sur un post Instagram. Un esprit color block et un look cyber punk que la makeup artiste belge Inge Grognard a elle aussi recrée sur les silhouettes du défilé Dries Van Noten de cette fashion week parisienne.

Chanel X Daniela Andrade

Le rouge à lèvres c’est fini, maintenant c’est le gloss ? Oui mais oubliez le fameux gloss rose qu’on laissera à notre nièce de 4 ans, pour les grandes dames les lèvres sont légèrement glossy et suivent un makeup généralement discret, tout en fraicheur. C’est tout l’esprit des looks Chanel du défilé prêt-à-porter automne-hiver 2020-2021 imaginé par Lucia Pica, Creative Designer du maquillage Chanel. Une touche discrète que porte Daniela Andrade dans le clip de “Tamale“, une jolie ode aux femmes fortes qui ont bercé l’enfance de cette canado-hondurienne qui monte. Affaire à suivre.