S’inspirant autant des sukeban – gangs de filles nippons – que des penseurs et révolutionnaires qui font et défont les sous-cultures, Kim Ellery réinvente pour le printemps 2017 ses classiques, leur donnant un vrai coup de fouet sans rien perdre de la poésie et du romantisme qui caractérisent la marque. À découvrir côté backstage grâce aux photos de Justino Esteves.

Cette saison, c’est du côté des boss ladies japonaises que Kim Ellery s’est tournée. S’inspirant des sukeban, les délinquantes juvéniles qui font trembler les lycées nippons, la créatrice australienne offre encore une fois sa vision du luxe et fait évoluer la femme Ellery. D’une romantique invétérée elle devient une rebelle, une penseuse, une poète et traduit cette nouvelle attitude par son look. Les classiques de la marque – pantalons évasés, manches bouffantes et chemisiers – s’encanaillent et s’habillent de cuir, fermetures éclair et autres détails métalliques. Bottes, sandales compensées (qui évoquent les geta japonaises) et chokers complètent la panoplie de cette bad girl aussi masculine que féminine, aussi forte qu’elle est douce.

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Crédit photos : Justino Esteves