L’aventure continue pour les sessions Rhythm, et quelle année ce fut ! Nectar Woode, Tshegue, Antonin Appaix, Malvina, Mosty, Basile Palace, Flavia Coelho, Maeta et Joe Bel et pleins d’autres se sont succédés dans nos studios pour partager leur univers. Entre instants suspendus, confidences et intenses performances, chaque session a apporté son lot d’émotions. Retour sur ces artistes qui ont marqué notre année.

Depuis son lancement, les sessions Rhythm célèbrent l’authenticité et la créativité musicale. Cette année encore, la rédac’ de Modzik a accueilli des artistes passionnants pour capturer des performances intimes, des confidences sincères et des instants magiques.

De Nectar Woode à Mosty, en passant par Antonin Appaix et Malvina, chaque session est une immersion dans un univers singulier. Cette aventure allie musique live, shooting mode et interview pour offrir un regard complet sur les artistes, du micro jusqu’aux moindres détails.

Voici un petit retour en image sur les nouveaux visages de la famille Rhythm.

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Nectar Woode, la londonienne cravaté en Benetton

« Je veux être aussi honnête que possible dans ma musique, mais également dans mon image. Ma musique est profondément sincère, alors je souhaite que tout ce qui l’entoure reflète cette même authenticité. »

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Tshegue, la voix d’une réconciliation culturelle en Maison Mourcel

« Pendant longtemps, le fait de ne pas être née en France me donnait le sentiment de ne pas être légitime pour pouvoir chanter en français. Mais cela a changé lorsque j’ai vu d’autres artistes qui ont su s’approprier une langue qui n’était pas la leur, ce qui m’a inspirée, portée et donnée confiance. »

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Antonin Appaix, poésie marseillaise et horizons électroniques en Barts

« Il puise autant dans la littérature que dans les sonorités contemporaines. Inspiré par Blaise Cendrars et Alain Souchon, Antonin Appaix fait vibrer des balades électro-pop d’une intensité rare. »

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Malvina, entre scène et liberté en Olivier Theyskens

« J’écrivais vraiment toute seule, mais pour cet album-là, j’ai ressenti le besoin de m’entourer parce que j’avais besoin de m’amuser. »

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Mosty, la nouvelle vague ivoirienne en Balenciaga

« Les sonorités africaines ont depuis longtemps inspiré des artistes du monde entier. Le véritable défi est de réussir à mettre en lumière cette culture tout en la rendant accessible. »

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Basile Palace, l’artiste au cœur ouvert en Dockers

« Mon père était super fier de moi et du projet. J’ai voulu lui rendre hommage de la plus belle manière, en faisant le meilleur album que je pouvais faire, avec ma famille et mes meilleurs potes. »

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Flavia Coelho, un souffle de Brésil à Paris en combinaison Free People

« Un jour, j’ai voulu écrire en français pour voir ce que ça allait donner. Les gens m’ont dit ‘mais tu nous parles directement’. Et c’est vrai. »

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Maeta, entre soul et énergie électronique en Valentino

« Je veux être une star de la pop un jour, alors je pense que je suis en train de m’engager dans cette voie. »

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Joe Bel, une voix ancrée dans l’essentiel en Sandro

« Au début, je me contentais de trois ou quatre accords. Aujourd’hui, j’ai envie d’aller plus loin et de parler de choses plus grandes que moi. »

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Tolvy, l’espoir de l’électro français en Hechter Paris

« Il y a eu une période où ça pouvait m’arriver de prendre le micro sur scène. Maintenant, je ne le fais plus ou très rarement parce que j’ai compris que ma musique, même si elle est la plupart du temps instrumentale, c’est mon moyen de communication et c’est vraiment comme ça que je me sens à l’aise. »

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Féfé, la « Génération Baladeur » en ensemble Gunther

« J’ai un vœu assez utopiste en fait : qu’un jour l’humanité dépasse toutes ces barrières que je trouve débiles. Que ce soit pour des questions de religion, de sexualité ou de couleur de peau. J’aimerais que l’humanité dépasse un peu toutes ces fausses frontières… un beau jour. »

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Lescop, la new wave à la française en Céline

« Je trouve que l’image a pris de plus en plus de place aujourd’hui dans la façon de défendre la musique. Et moi, c’est quelque chose qui me parle, qui me touche. »

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Ces sessions Rhythm ont été un véritable miroir des artistes qui marquent leur époque. Et ce n’est que le début : restez connectés, la rédac’ vous prépare encore bien des surprises pour 2025 !

Texte Boris Lemoine