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L’Adidas Arena a vibré mercredi 17 septembre au rythme de The Sound of Superstar(s), un marathon musical organisé par Adidas pour célébrer sa mythique sneaker Superstar. Angèle, La Mano 1.9, Shygirl, Luidji, Theodora et Asake se sont succédés sur scène pour une soirée où la musique, l’énergie et les surprises ont dominé.

 

 

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Égérie Adidas, Angèle a ouvert la soirée avec son titre Démon, qui a immédiatement conquis la salle. Elle a ensuite enchaîné avec Oui ou non et Nightfall avant de se diriger vers le piano installé sur la Main Stage. C’est là que Théodora l’a rejointe pour interpréter en duo le titre Ils me friend tous au nez. Le temps d’un morceau, leurs voix se sont mélangées pour donner une toute autre dimension au morceau, qui a été accueilli par une ovation du public. Après ce moment fort, Angèle poursuit son set avec Fever et termine avec Balance ton quoi. Quand elle annonce la fin, un spectateur crie « enfin ! » mais fini par se reprendre à la fin du morceau et dit « pars pas en fait ! ».

L’ambiance change radicalement quand La Mano 1.9 arrive ensuite sur scène. Le rappeur, qui venait d’annoncer un Zénith complet en vingt minutes, a immédiatement fait trembler l’Aréna avec ses morceaux Canon et Businessman. Au moment où son titre Jump retentit, toute la salle saute à l’unisson, transformant l’aréna en une fosse géante. À la fin de son set, une spectatrice exprime son mécontentement en le voyant partir en disant « Lamanon noooooooooooooooon ! ».

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La londonienne, Shygirl a ensuite fait monter la température avec son électro sensuelle, répétant ses punchlines comme des mantras. Entourée de deux danseuses, elle alterne beats lourds et chorégraphies provocantes, captant l’attention sans relâche du public.

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Puis, Luidji s’empare de la scène avec son groupe, apportant une ambiance plus posée. Il ouvre son set avec quelques morceaux, dont Foufoune Palace, qu’il interprète en deux parties : l’une plus classique, l’autre plus rockstar, marquée par son geste de retirer sa veste. Entre fragilité assumée et attitude de rockstar, il conclut son set avec le morceau Monde, se tournant vers la foule et s’inclinant humblement, savourant son premier concert à l’Adidas Arena comme pour marquer son entrée parmi « les grands de ce monde ».

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Theodora, acclamée comme la « Boss Lady », entre ensuite en scène avec six danseuses et un DJ. Elle enchaîne ses morceaux, dont Kogolese Sous BBL, Fashion Designer et le duo inédit Zou Bisou avec Luidji, repris en chœur par la salle. Au milieu de son set, elle s’éloigne brièvement pour boire de l’eau, tout en continuant à parler au micro et à interagir avec le public, qui insiste pour la voir revenir. Elle termine sa prestation en remerciant ses danseuses et sa team.

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La soirée s’achève avec Asake, ses danseurs et son groupe. Dès les premières notes de ses rythmes afrobeat, l’Adidas Arena se transforme en véritable dancefloor géant. Le public danse, chante et saute au rythme de l’artiste nigérian, dont l’énergie contagieuse offre un final explosif à une soirée mémorable.

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Entre chaque performance, l’attention ne faiblit jamais grâce à des interludes soigneusement orchestrés : danse sur NuevaYol de Bad Bunny, numéros de pole dance ou encore Aerial Straps de Quentin Signori. Associés aux nuages scéniques et aux jeux de lumière, ces moments ont contribué à faire de ce concert un spectacle vivant.

Avec The Sound of Superstar(s), Adidas a fait de sa sneaker une véritable icône culturelle. Plus qu’une opération marketing, c’était une célébration collective où chaque artiste a incarné à sa manière l’esprit Superstar : fun, énergique et universel.

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Texte Blu Clara Rapps-O’Dea Valey
Image de couverture Adidas (The Sound of Superstar(s) à L’Adidas Arena) 
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