Ces derniers jours, la page Instagram de Dora Moutot fait parler d’elle : avec des milliers d’abonnés à son actif, la journaliste met en avant le tabou de l’orgasme féminin et entreprend de déconstruire la fragile masculinité qui va avec. À l’appui, de nombreux captures d’écran de témoignages qui racontent cet égo masculin, incapable d’être à l’écoute de femmes dont le plaisir est toujours relégué au second plan. Il est aussi question de l’éducation de la sexualité — celle créée sur mesure pour satisfaire uniquement le plaisir masculin — où la culture du viol n’est jamais très loin.

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