Actuellement composé de Joe Goddard, Alexis Taylor, Felix Martin, Al Doyle et Owen Clarke, le groupe affiche une image d’adolescents légèrement geek sur les bords aux goûts musicaux plus que pointus. 

Après des débuts relativement plus pop, Hot Chip s’est lancé dans la nouvelle technologie en adaptant leur musique pop à l’électronique sur ordinateur. 

Leur premier album ‘”Coming On Strong” sort en 2005 et c’est un véritable succès. Le mélange des genres musicaux séduit et les mènent à signer chez DFA Records, label fondé par le leader du nouveau retraité LCD Soundsystem, James Murphy. 

L’année suivante dévoile leur deuxième album, “The Warning It”, point de départ d’une véritable reconnaissance dans le monde entier. Encore très pop, c’est leur troisième album “Made in The Dark” en 2008 qui va définitivement marquer le virage du groupe vers l’électro-pop. Ce nouveau style musical va suivre dans leurs prochains albums  avec “One life stand” en 2010 et “In Our Heads” dont la sortie est prévue pour le 11 juin 2012. 

Après deux années d’absence, Hot Chip est de retour avec un nouvel album signé avec Domino Records et produit par Mark Ralph. Cet album s’annonce euphorique et reste dans l’esprit électro-pop, cher au succès du groupe. 

En parallèle de cette nouvelle sortie, Felix Martin membre des Hot Chip a collaboré avec LCD Soundsystem et le DJ Tom Hopkins l’ingé son de DFA pour former le groupe New Build dont l’album “Yesterday was lived and lost” composé de 12 morceaux sortira le 16 avril 2012. 

Quant à Joe Goddard, ce dernier n’hésite pas à tenter des projets solos comprenant la création de son label “Greco-Roman” mais surtout un duo avec Raf Rundel qui donne naissance à  The 2 Bears un groupe qui reste dans la lignée Hot Chip puisque dans un style électro-pop. Leur premier album “Be Strong” sorti en janvier dernier. 

Vous pourrez retrouver Hot Chip en concert le 13 juin à Londres et le 7 juillet à Paris pour le festival Days Off. 

Modzik vous laisse découvrir la vidéo de “Flutes”, extrait de l’album à venir “In Our Heads”. 

Par Alexia Garric