Vendredi 12 avril
Paris
The Courteeners @ Point Ephemere
Le groupe indie-rock de Manchester est de passage en France et vous ne devriez pas les manquer. Formés en 2006, produits par Stephen Street (Blur, The Smiths, Morrisey…), ils viennent défendre leur nouvel album, Anna.
Nantes
Holy Strays / Tresors @ Le Stakhanov
Double plateau pour le bar-concert du quartier Bouffay. Ambiance électro clausto et expérimental pop à petits prix pour ambiancer ce début de week-end.
Dijon
Suite de ce festival d’indie sound. Plusieurs artistes vous donnent rendez-vous aux quatre coins de la ville. Ce vendredi vous pourrez entre autre écouter Luke Abbott à la Vapeur.
Samedi 12 avril
Paris
We Love Art @ Palais de Tokyo (The Aikiu, Discodeine, Para One)
Concept party bien connue qui accueille l’excellent groupe The Aikiu. Puisant dans les influences pop et new-wave, The Aikiu a déjà sorti un EP Pieces of Gold et sera très surement l’une des pépites de demain. Egalement présents, Discodeine et Para One qu’on ne présente plus. Entrée libre (19H), venez tôt.
A Native Tongues Night @ Trabendo
MPC Prod & Free Your Funk présentent Ali Shaheed (A Tribe Called Quest) et Maseo (De la Soul)
Les deux DJ’s et producteurs rendront hommage aux deux monstres du hip-hop américains. Une nuit dédiée à la musique des Natives Tongues introduite par le parisien DJ Fab. Pas d’hésitation, venez redécouvrir ces classiques US dans la mythique salle du Parc de la Vilette.
Embrace 1 @ La Machine du Moulin Rouge
Grosse soirée en perspective dans l’antre de la fête du 18ème arrondissement. Karma Kid, Bondax, Cherokee et Dream Koala vous promettent une nuit pleine de suprises.
Festival Chorus @ La Défense
Bonaparte, Rich Au Coin, Naive New Beaters, Sexy Sushi. L’affiche fait rêver. Ils seront tous présents à la Défense à partir de 20H dans le cadre du festival organisé par le conseil général des Hauts-de-Seine.
Dijon
Festival Kill Your Pop suite
La fête continue à Dijon avec toujours plus d’artistes. A noter le “secret show” de Chinese Army.
DIGITAL COVER #22 / JOE BEL, L’INTERVIEW
