Depuis que le grand public s’est entiché du mythe de la cagole grâce au génial documentaire « Cagole Forever », Modzik a voulu percer à jour les secrets du doux mythe de cette femme, fatale et sudiste. Souvent stigmatisée et qualifiée de jolis noms d’oiseaux, doucement, elle prend sa revanche en inspirant des célébrités et des marques du monde entier. Toujours ultra-féminine, excessive et grande gueule, la cagole, véritable féministe nouvelle génération, assume pleinement sa féminité sans ce soucier des mauvaises. Pour cet été, nous avons donc décortiqué le contenu de son Vanity Case et de son dressing XXX pour que vous puissiez, vous aussi, réveiller la cagole qui sommeille en vous. À vous de jouer.

D’un point de vue cosmétique, la cagole ne lésine pas en produits de maquillage et en soin et les accumule de la même façon que Paris Hilton collectionne les téléphones à strass. Pour devenir une belle plante, il faut s’entretenir minutieusement grâce à un rituel précis et calibré. La peau doit être radieuse et en bonne santé afin d’accueillir un maquillage sophistiqué et audacieux. Adieu discrétion, bonjour opulence et inspirations qui sentent bon le soleil du Sud et le granité à la cerise – on entendrait presque les criquets chanter.

Qu’est-ce qu’on trouve dans son Vanity Case ?

Quant à son dressing, il est souvent une mine d’or sous-estimée qui tire son inspiration d’une féminité exacerbée et assumée et qui n’a de cesse de contrer le vestiaire trop classique et trop sage de sa voisine. Elle mise sur des couleurs vives, des matières singulières et des pièces iconiques telles que des talons hauts, des tops collés-serrés et des accessoires bigarés. N’ayez pas peur d’attirer les regards, qu’ils soient accusateurs ou admiratifs, après tout, la vie est trop courte pour porter des vêtements ennuyeux, n’est-ce pas ?

Qu’est-ce qu’on trouve dans son dressing ?

Crédit photo de une / Nouvelle Vogue