Instagram est en ébullition cette semaine. Les raisons ? Peut-être la canicule qui s’abat sur le territoire ou tout simplement les hormones en pleine ébullition. Quoi qu’il en soit les réseaux sociaux sont submergés de clichés dénudés. Des fesses en veux-tu, en voilà, elles sont partout ! De toutes les formes et pour tous les goûts, pour ces dames comme ces messieurs. Mais au delà d’un simple cliché agréable à la vue, quoi que certains ont de quoi nous faire complexer, n’ y aurait-il pas un message caché ?

Longtemps jugé tabou le postérieur fait une entrée fulgurante sur toutes les plateformes de partage en ligne. L’ère du « cul » est lancée et ce n’est pas pour nous déplaire. Démocratisée par des nanas comme J-Low ou Kim Kardashian qui assument leurs « fat booty », les fesses ne se cachent plus , au contraire elles sont clairement mises en avant. Elles sont assumées avec ou sans défauts.

Couvrez ces fesses que je ne saurais voir !

Look

Une photo publiée par Justin Bieber (@justinbieber) le

@Instagram

Une photo publiée par @chrissyteigen le

Après le mouvement #FreeTheNipple où les femmes laissaient entrevoir leurs tétons, Instagram avait décidé de censurer ces clichés jugés trop « hot ». Il n’aura pas fallu longtemps aux internautes pour s’emparer du mouvement et critiquer vivement la politique sectaire du réseau social. Afin de déjouer Instagram, les femmes publiaient des clichés d’elles topless avec leurs tétons cachés par des tétons d’hommes (montage photo plus ou moins bien réussis via Photoshop). Même si cela semble totalement absurde dans un premier temps, le mouvement de masse qui a opéré autour de cette « viralité online » reste néanmoins spectaculaire.

Les fesses se veulent porteuses de messages .. Le fessier se dit « démocratique » malgré son côté « sexy ». Justin Bieber, John Legend, Poppy Delevingne tous ont posté une photo sur leur Instagram une photo de leurs fesses. Il arrive parfois que certains comme Marc Jacobs les dévoilent par accident (soit disant…).  Montrer « son cul » c’est s’assumer. Et c’est un peu le « mood » qu’il en ressort en ce moment sur les réseaux sociaux. Les gens s’assument, choquent et veulent le faire savoir. Car après tout « un cul est un cul ».